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Effet de l’ajout exogène de résolvines sur la fonction des cellules souches musculaires en dystrophie myotonique de type 1.

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Quand:
11:30 AM, Lundi 23 Nov 2020 (1 heure)
Où:
  Session virtuelle
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Effet de l’ajout exogène de résolvines sur la fonction des cellules souches musculaires en dystrophie myotonique de type 1.

Mokhtari Inès1,2, Conte Talita3,4, Marie-Pier Roussel1, Dumont Nicolas2,3,4. Duchesne Élise1,2

1. University of Quebec at Chicoutimi, Chicoutimi, Quebec, Canada. 2.Centre d’excellence de recherche sur les maladies orphelines – Fondation Courtois (CERMO-FC), Université du Québec à Montréal, Québec, Canada. 3.University of Montreal, Montreal, Quebec, Canada. 4. Research center of CHU Sainte-Justine, Montreal, Quebec, Canada.

Introduction : La dystrophie myotonique de type 1 (DM1) est une maladie autosomale dominante qui représente la myopathie la plus fréquente chez l’adulte. Les personnes atteintes présentent, parmi plusieurs autres symptômes et manifestations, une atrophie musculaire ainsi qu’une perte progressive de la force musculaire. Ceci peut s’expliquer par une fonction altérée des cellules souches musculaires (CSM), lesquelles assurent, par le processus de myogenèse, le développement, la croissance et la réparation musculaires. Un environnement proinflammatoire, caractérisé par une augmentation des cytokines pro-inflammatoires TNF-a et IL-6 est également présent chez les personnes atteintes. Les évidences scientifiques s’accumulent concernant le rôle clé joué par les résolvines, des molécules issues des oméga-3, dans la résolution de l’inflammation et l’homéostasie tissulaire. Objectif : Investiguer l’effet de l’ajout de résolvines exogènes sur la fonction de CSM isolées de patients atteints de DM1. Méthodologie :Les CSM obtenues à partir de biopsies musculaires collectées chez 12 patients atteints de DM1 et de 15 sujets contrôles ont été traitées ou non avec 250 nM de résolvines (résolvines D1 et résolvines D2). La prolifération et la différenciation musculaires de ces cellules ont été évaluées avec l’appareil Incucyte S3 et par la technique d’immunofluorescence, respectivement. Résultats : Les résultats préliminaires montrent que les résolvines n’ont pas d’effet sur la prolifération des cellules mais que les résolvines D1 et D2 améliorent la différenciation chez les sujets contrôles ainsi que chez les patients. Conclusion : Les résolvines semblent être une avenue thérapeutique intéressante pour améliorer la fonction des CSMe n DM1.

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Présentateur.rice

Personnes inscrites

Hermance Beaud
Coordinatrice du CERMO-FC
UQAM
Margaryta Babych
Ph.D. étudiant
UQAM

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