Basée sur mon expertise en virologie et ma participation aux différents sujets couverts par les médias durant ces 4 dernières années, je parlerai de certaines lacunes qui ont fait surface et qui ont nui à la réponse gouvernementale au Québec. J’insisterai sur les points qui doivent être améliorés pour être mieux positionnés face aux futures épidémies ou pandémies. Certaines opportunités sont à saisir et les chercheurs universitaires devraient  y jouer un plus grand rôle.

À la suite de l’adoption d’une vision positive de la santé par l’OMS, de multiples conférences mondiales et études ont fait évoluer la réflexion sur la prévention, les mesures de promotion de la santé populationnelle et l’équité en santé. Le Québec est au diapason des consensus internationaux en matière de politiques publiques favorables à la santé. Au-delà de la visibilité de la santé publique durant la pandémie de COVID-19, ses assises légales et institutionnelles...

L’École de Santé Numérique de l’Université de Montpellier, ESNbyUM, est une initiative pionnière en France, visant à intégrer le domaine du numérique dans la formation des professionnels impliqués dans la santé. Elle propose des programmes innovants pour former des personnes en mesure de répondre aux défis actuels, tels que les données de santé et leur traitement par l’intelligence artificielle, la sécurité numérique, la télésanté ou la robotique d’assistance. En mettant l’accent sur une péda...

Cette table ronde a pour objectif de présenter les différents aspects de la promotion de la santé et la prévention des maladies par des enseignants et des chercheurs dans différents secteurs d'activité.L'intégration de ces différentes expertises et leur mise a disposition de la population seront décrites. Animateur : Fabrice BrunetIntervenant(e)s : Nicolas Pilon, Raquel Fonseca, Kim Lavoie et Gilles Gouspillou 

Rôle des hubs d'innovation dans la santé avec ces 3 composantes : - Science de la vie- Technologie - Communautaire et sociale 

Table RondeAnimateur : Gabriel Goyette CôtéIntervenant(e)s : Patrick Nataf, Kathy Malas, Patrick Dolcé et Nicolas Tétreault

L’Institut de la statistique du Québec a récemment révélé que la proportion de Québécois sans médecin de famille est passée de 18 % en 2019 à près de 27 % en 2023. Avec une pénurie actuelle de 1500 médecins de famille et la retraite prévue de la moitié des omnipraticiens d'ici dix ans, il devient urgent d'agir. Grâce à sa présence sur l’ensemble du territoire québécois et à la collaboration de ses dix établissements, l’Université du Québec (UQ) entend offrir un programme de médecine spécifiqu...