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Au Québec, des toxicologues s’intéressent à des problématiques qui concernent de près la santé des populations et de l’environnement. Pensons aux perturbateurs endocriniens ou aux polluants organiques persistants. La question de l’environnement, de la pollution et de la toxicologie est de plus en plus abordée et d’intérêt dans la sphère publique. Néanmoins, le partage des risques toxicologiques associées à la santé humaine et environnementale n’est pas sans écueil. Par exemple, certaines découvertes scientifiques aboutissent difficilement dans la sphère publique ou encore, sont déformées en chemin. De plus, les mesures politiques escomptées par les scientifiques pour répondre aux problématiques toxicologiques et protéger la santé des populations et de l’environnement se font souvent attendre.

Afin de pallier ces enjeux, des étudiant.es du Toxen, un Groupe de recherche en toxicologie de l'environnement de l’UQAM, vous convient à une journée de grand débat de l’Institut Santé et société.
Cette journée permettra de :
  • mieux comprendre les enjeux associés à la communication des risques à partir du point de vue de différent.es acteur.trices;
  • identifier des pratiques à adopter pour encourager un partage plus efficace des risques toxicologiques associés à la santé humaine et environnementale.

En réunissant un éventail d’acteur.trices et en engageant un dialogue sur ces questions, les étudiant.es du Toxen espèrent contribuer, collectivement, à améliorer la diffusion des risques toxicologiques, notamment ceux associés aux études qu’ils mènent dans leur maîtrise et leur doctorat.

COMITÉ ORGANISATEUR

Anaïs Kerric,étudiante au doctorat en biologie; Antoine Simond, étudiant au doctorat en biologie; Carla Mahé, étudiante à la maîtrise en biologie; Catherine Jumarie, directrice du TOXEN et professeure au Département des sciences biologiques; Charbel Hanna, étudiant à la maîtrise en biologie; Daphnée Gariépy, étudiante à la maîtrise en biochimie; Myriam Mireault, étudiante à la maîtrise en biochimiel; Marie Eve Rioux-Pelletier, coordonnatrice à l'Institut Santé et société.

Mise en contexte