Marika Handfield (allochtone, descendant de colons) étudie au doctorat en psychologie communautaire, à l’UQAM, sous la direction de Thomas Saïas. Sa thèse, en partenariat avec Mikana, vise à mieux comprendre comment réduire les préjugés envers les personnes autochtones, chez les allochtones francophones au ‘’Québec’’ et tester si ce type d’intervention peut permettre un changement social plus large (effet de contagion). Les risques d’effets négatifs (ex. augmentation des préjugés, microagressions vécues par les personnes autochtones qui donnent les formations) seront également explorés. Ses intérêts de recherche portent sur le changement social et la réduction des comportements oppressifs au quotidien (ex. les pratiques pédagogiques).
Lien pour télécharger la présentation: https://www.canva.com/design/DAE9r3oSODI/bY9gUU2NGLdZeAG2o7chgw/view?
utm_content=DAE9r3oSODI&utm_campaign=designshare&utm_medium=link2&utm_sou
rce=sharebutton
Envoyez moi un courriel si vous voulez être avisé‧e de la publication éventuelle de ce travail!
Sessions auxquelles Marika Handfield participe
Lundi 2 Mai, 2022
Le racisme dans les universités, autant au niveau interpersonnel et social qu’institutionnel, reste un obstacle central à l’équité d’accès à l’éducation et la justice sociale pour les personnes autochtones au Canada (Bailey, 2016; Henry et al., 2017; Henry & Tator, 2009; Sylvestre, Castleden, Denis, Martin, & Bombay, 2019). Trop peu d’études adressent le vécu des personnes autochtones dans les uni...
Sessions auxquelles Marika Handfield assiste
Mardi 3 Mai, 2022
Une partie des intervenant.es effectueront leur communication via Zoom.