Depuis 1992, date de la publication de ma thèse qui portait sur Les colonies industrielles en Catalogne, le cas de la colonia Sedo d'Esparreguera , j'ai développé une recherche sur deux axes: d'une part l'étude des Villages ouvriers et des villes-usines à travers le monde, qui a donné lieu à une publication en 2016 et à un article dans la Revue Géographique de l’Est, en 2020, sous la direction du professeur Simon Edelblutte; et d’autre part, l'étude de l'industrialisation en Espagne, à travers le cas de la Colonia Sedo, la plus importante usine textile de toute la péninsule, tant par dimension que par le système hydraulique qu'elle avait mis en place. Rejoignant l'une et l'autre recherche, mes études actuelles portent sur le réseau industriel catalan, et la relation exceptionnelle qu’entretient Barcelone et son arrière-pays, formant une seule et même usine, la grande usine textile d'Espagne, pour reprendre le titre d'une exposition mémorable, de 1987. Ma dernière synthèse publiée sur ce sujet est parue dans Catalonia, la revue des études catalanes de Paris-La Sorbonne, en 2016. Le patrimoine qui subsiste en Catalogne est énorme, cohérent et en partie seulement protégé. J’ai pu susciter la création, en 2018, d’une association pour la sauvegarde du patrimoine industriel de la Colonia Sedo et son environnement,dominé par la montagne de Montserrat et son célèbre sanctuaire. La newsletter de TICCIH s’en est fait l’écho.
En 1996, j’avais publié avec le professeur Louis Bergeron un petit ouvrage sur le patrimoine industriel qui a été longtemps la seule référence sur le sujet. Les cours de patrimoine industriel que j’ai dispensés, depuis cette date, dans plusieurs universités (Reims, Paris-La Sorbonne, Chambéry) ainsi que les interventions ponctuelles auprès de collectivités territoriales et autres structures universitaires, ont permis la publication, en association avec une équipe de contributeurs, d’un ouvrage intitulé Le patrimoine industriel dans tous ses états, un hommage à Louis Bergeron, publié en 2018. J’ajoute qu’après avoir fondé, en 1997, une association pour le patrimoine industriel de Champagne-Ardenne, très active, partenaire de la Fondation pour le patrimoine, le parc de la Montagne de Reims, et d’Acustica (CCSTI de Champagne-Ardenne), membre du CILAC et de TICCIH, j’ai travaillé longtemps auprès des présidents de TICCIH, Louis Bergeron et Eusebi Casanelles, et j’ai été pendant cette période, membre du bureau. A la demande du président de TICCIH, j’ai accueilli la section textile à Sedan-Mouzon, (publication en 2012) et la section agroalimentaire à Reims, (publication en 2011). Toutes nos rencontres sont publiées soit dans la série des Cahiers de l’APIC, soit dans la collection Patrimoines de l’Université de Savoie, que dirigeait, il y a encore quelques mois, le professeur Denis Varaschin. Pour en savoir plus, rendez vous sur notre page web: www.patrimoineindustriel-apic.org
Depuis 1992, date de la publication de ma thèse qui portait sur Les colonies industrielles en Catalogne, le cas de la colonia Sedo d'Esparreguera , j'ai développé une recherche sur deux axes: d'une part l'étude des Villages ouvriers et des villes-usines à travers le monde, qui a donné lieu à une publication en 2016 et à un article dans la Revue Géographique de l’Est, en 2020, sous la direction du professeur Simon Edelblutte; et d’autre part, l'étude de l'industrialisation en Espagne, à travers le cas de la Colonia Sedo, la plus importante usine textile de toute la péninsule, tant par dimension que par le système hydraulique qu'elle avait mis en place. Rejoignant l'une et l'autre recherche, mes études actuelles portent sur le réseau industriel catalan, et la relation exceptionnelle qu’entretient Barcelone et son arrière-pays, formant une seule et même usine, la grande usine textile d'Espagne, pour reprendre le titre d'une exposition mémorable, de 1987. Ma dernière synthèse publiée sur ce sujet est parue dans Catalonia, la revue des études catalanes de Paris-La Sorbonne, en 2016. Le patrimoine qui subsiste en Catalogne est énorme, cohérent et en partie seulement protégé. J’ai pu susciter la création, en 2018, d’une association pour la sauvegarde du patrimoine industriel de la Colonia Sedo et son environnement,dominé par la montagne de Montserrat et son célèbre sanctuaire. La newsletter de TICCIH s’en est fait l’écho.
En 1996, j’avais publié avec le professeur Louis Bergeron un petit ouvrage sur le patrimoine industriel qui a été longtemps la seule référence sur le sujet. Les cours de patrimoine industriel que j’ai dispensés, depuis cette date, dans plusieurs universités (Reims, Paris-La Sorbonne, Chambéry) ainsi que les interventions ponctuelles auprès de collectivités territoriales et autres structures universitaires, ont permis la publication, en association avec une équipe de contributeurs, d’un ouvrage intitulé Le patrimoine industriel dans tous ses états, un hommage à Louis Bergeron, publié en 2018. J’ajoute qu’après avoir fondé, en 1997, une association pour le patrimoine industriel de Champagne-Ardenne, très active, partenaire de la Fondation pour le patrimoine, le parc de la Montagne de Reims, et d’Acustica (CCSTI de Champagne-Ardenne), membre du CILAC et de TICCIH, j’ai travaillé longtemps auprès des présidents de TICCIH, Louis Bergeron et Eusebi Casanelles, et j’ai été pendant cette période, membre du bureau. A la demande du président de TICCIH, j’ai accueilli la section textile à Sedan-Mouzon, (publication en 2012) et la section agroalimentaire à Reims, (publication en 2011). Toutes nos rencontres sont publiées soit dans la série des Cahiers de l’APIC, soit dans la collection Patrimoines de l’Université de Savoie, que dirigeait, il y a encore quelques mois, le professeur Denis Varaschin. Pour en savoir plus, rendez vous sur notre page web: www.patrimoineindustriel-apic.org
Depuis 1992, date de la publication de ma thèse qui portait sur Les colonies industrielles en Catalogne, le cas de la colonia Sedo d'Esparreguera , j'ai développé une recherche sur deux axes: d'une part l'étude des Villages ouvriers et des villes-usines à travers le monde, qui a donné lieu à une publication en 2016 et à un article dans la Revue Géographique de l’Est, en 2020, sous la direction du professeur Simon Edelblutte; et d’autre part, l'étude de l'industrialisation en Espagne, à travers le cas de la Colonia Sedo, la plus importante usine textile de toute la péninsule, tant par dimension que par le système hydraulique qu'elle avait mis en place. Rejoignant l'une et l'autre recherche, mes études actuelles portent sur le réseau industriel catalan, et la relation exceptionnelle qu’entretient Barcelone et son arrière-pays, formant une seule et même usine, la grande usine textile d'Espagne, pour reprendre le titre d'une exposition mémorable, de 1987. Ma dernière synthèse publiée sur ce sujet est parue dans Catalonia, la revue des études catalanes de Paris-La Sorbonne, en 2016. Le patrimoine qui subsiste en Catalogne est énorme, cohérent et en partie seulement protégé. J’ai pu susciter la création, en 2018, d’une association pour la sauvegarde du patrimoine industriel de la Colonia Sedo et son environnement,dominé par la montagne de Montserrat et son célèbre sanctuaire. La newsletter de TICCIH s’en est fait l’écho.
En 1996, j’avais publié avec le professeur Louis Bergeron un petit ouvrage sur le patrimoine industriel qui a été longtemps la seule référence sur le sujet. Les cours de patrimoine industriel que j’ai dispensés, depuis cette date, dans plusieurs universités (Reims, Paris-La Sorbonne, Chambéry) ainsi que les interventions ponctuelles auprès de collectivités territoriales et autres structures universitaires, ont permis la publication, en association avec une équipe de contributeurs, d’un ouvrage intitulé Le patrimoine industriel dans tous ses états, un hommage à Louis Bergeron, publié en 2018. J’ajoute qu’après avoir fondé, en 1997, une association pour le patrimoine industriel de Champagne-Ardenne, très active, partenaire de la Fondation pour le patrimoine, le parc de la Montagne de Reims, et d’Acustica (CCSTI de Champagne-Ardenne), membre du CILAC et de TICCIH, j’ai travaillé longtemps auprès des présidents de TICCIH, Louis Bergeron et Eusebi Casanelles, et j’ai été pendant cette période, membre du bureau. A la demande du président de TICCIH, j’ai accueilli la section textile à Sedan-Mouzon, (publication en 2012) et la section agroalimentaire à Reims, (publication en 2011). Toutes nos rencontres sont publiées soit dans la série des Cahiers de l’APIC, soit dans la collection Patrimoines de l’Université de Savoie, que dirigeait, il y a encore quelques mois, le professeur Denis Varaschin. Pour en savoir plus, rendez vous sur notre page web: www.patrimoineindustriel-apic.org